Surpris en plein travail, je n’ai pas eu le temps d’ôter la farine de ma chemise. Pas même eu le temps d’attendre ma femme et ma fille ! Le seul qui m’accompagne, c’est mon âne. La flour deis ase dóu quartié… La fleur des ânes du quartier ! Il n’y a pas plus brave que cette bête. Je l’aime trop, mon petit brameur, pour me servir du bâton que je tiens.