Ici, les gens disent de ceux qui flânent en chemin A coume l’ase dòu mounié, s’arrèsto en tòuti li porto, il est comme l’âne du meunier, il s’arrête à toutes les portes. C’est vrai que sur ma route je dois m’arrêter souvent, mais pas pour lambiner : il y a ceux qui m’ont donné leur blé à l’aller, et il y a ceux à qui je donne la farine au retour ! Qué travail !