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Un jour, un santon

Balèti ! On sait quand on commence à jouer, on ne sait
pas quand on finit. Certaines nuits d’été, je vois des
danseurs tout escagassés, à bout de forces, se dandiner
encore en attendant le lever du soleil. Comme moi aussi
je suis fatigué, je les achève avec « Adieu, Venise
Provençale »… Quant ils entendent « Adieu, pays de mes
amours », ils s’assoient et ils pleurent… Mais ce soir, mon
accordéon ne sera pas un tire-larmes… Ou alors de
joies !
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